*Dieu ne s’est pas limité aux livres saints. Si vous savez spiritualiser votre esprit, vous saurez lire entre les lignes et vous deviendrez subtil jusqu’à l’invisible. A ce moment seulement, vous verrez la sainteté partout. Vous comprendrez que tout est de Dieu et que Dieu est un Tout.
*Quand vous naissez, Dieu instaure automatiquement un boulevard entre vous et Lui. C’est bien après que le diable par le biais des éducations et de la magie noire, réalise progressivement une route sinueuse et complètement maléfique pour vous séparer du créateur. Cette obscure route qui, en réalité, est une barrière, représente le Sur-moi mystique et pathologique. Sitôt installé, Dieu ne vous perçoit plus, car la pourriture du Sur-moi l’en empêche. Vos prières ne parviennent également pas à traverser ce démoniaque pont. Vous vivez alors petitement dans un tourbillon infernal de pauvreté, de solitude sentimentale, de mal être, de malaise, de complexe d’infériorité, de timidité, d’aigreur et de problèmes insoutenables. Pour réussir alors votre vie et plus tard rejoindre le créateur, vous êtes obligé de réagir. Vous devez absolument vous frayer un passage voire détruire complètement ce pont (Sur-moi) qui vous sépare de Dieu. Et ce n’est pas les moyens qui manquent, c’est à vous de voir. Cherchez et vous trouverez. Frappez et on vous ouvrira !
*Dieu créa l’homme à son image et à sa ressemblance avec donc tous les pouvoirs psychiques que sont les prémonitions, la clairaudience, l’amour, l’empathie, la télépathie, l’hypermnésie saine, etc. Mais petit à petit, l’éducation erronée, obsolète, malsaine, édulcorée, falsifiée ainsi que les pratiques mystiques (gris-gris, voyance, fétiches, maraboutage, etc.), rétrogrades et sataniques, viennent tracer un chemin obscur et hautement malsain par lequel le diable passe pour s’exprimer dans votre tête. Le Sur-moi est alors né. Ainsi donc certaines personnes entendent des voix. D’autres des injonctions maléfiques du genre « tu n’y arriveras pas », « tu n’es pas intelligent », « ce n’est pas ta catégorie, ils sont plus doués que toi », « tu viens d’un milieu pauvre reste où tu es », « tes parents sont pauvres donc tu ne peux pas te mesurer aux enfants des riches », « tu es trop petit pour voir grand, reste dans ton milieu », « tu n’es pas diplômé donc tu ne seras rien », « tu es maudit » ou alors « venge-toi », « mens sur lui », « répands des commérages », « sois malhonnête », « escroque », etc. Par ce manège, le diable parvient à vous freiner, à vous détourner du chemin réel que Dieu a prévu pour vous. Vous devenez aigri, malhonnête, méchant, angoissé, timide, jaloux, complexé, mal dans votre peau, etc., jusqu’à ce que par chance ou par choix, votre chemin croise celui d’un génie, c’est-à-dire une personne naturellement donc divinement évoluée que le Tout-Puissant Lui-même a armé et guidé au tréfonds de son âme pour connaître, comprendre et déjouer toutes les manigances du malin afin de pouvoir sauver la multitude. Suivez ce génie ou si vous voulez ce prophète et vous arriverez à bon port. Vous connaîtrez des moments fabuleux.
*Le comportement de la plupart des gens est curieux. Ils veulent que l’on parle de tout sauf de la cause profonde de leurs difficultés parfois même de leur déchéance. Freud parle dans ce cas de « bénéfice de la maladie ». Selon lui, certaines personnes préfèrent de loin demeurer inconsciemment dans la souffrance psychique, c’est-à-dire dans le connu que d’en guérir et embrasser donc l’inconnu qui est pourtant bien meilleur. Tu tentes de les faire sortir de leurs prisons psychiques ou spirituelles, parfois tu réussis à les faire mettre un pied dehors, mais la grande majorité du corps reste dedans ou alors ils se cantonnent juste à côté de la prison ou encore leurs regards restent résolument tournés vers leurs anciens barreaux. A la moindre difficulté, les revoilà à la case départ. Vous verrez que la plupart des barreaux ne sont rien d’autre que leur antique fanatisme et très souvent l’occultisme (magie noire, maraboutage, fétiches etc.), dans lesquels ils sont englués parfois jusqu’au cou. Certains resteront donc malheureusement malades à vie comme l’a si bien souligné Sigmund Freud. Ils ne connaîtront jamais une vie réussie.
Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB
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